Liberté d’informer et de l’être, liberté de savoir, « tout savoir », … voilà ce que réclame le monde d’internet, des TIC et des médias internationaux, sans frontière et parfois assimilés aux affaires étrangères de leurs pays d’origine. Le secret est en détresse, pourtant il ne s’est pas déclaré vaincu. Droit de tout savoir pour les citoyens contre devoir de ne pas « tout » dire pour les gouvernants, au nom des « stratégies » ou raisons d’Etat ; et les frictions ne manquent !

Médias étrangers et infors sensmbles en RDC
Médias étrangers et infors sensmbles en RDC

En République démocratique du Congo, les médias internationaux (occidentaux), trop dans les TIC[1], prennent plus d’importance et tendent parfois à remplacer les médias locaux. Ils contournent le contrôle médiatique du pouvoir et surtout s’ouvrent même à l’opposition :

  1. Parole au pouvoir: les médias internationaux permettent de dire et montrer au monde un Congo qui change. Pour ça, très peu refusent l’interview de RFI, France 24, Jeune Afrique ou BBC. A l’inverse, lorsqu’il faut parler de corruption, d’insécurité, des droits de l’homme, ces médias énervent.
  2. Parole aux opposants politiques parfois sans accès dans l’audiovisuel local. Presque toujours aux antipodes de l’action publique, les opposants énervent et derrière eux, les médias (occidentaux) qui leur donnent la parole.

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[1] Sur Internet, par câble, par satellite, en FM, en Ondes courtes, en Ondes moyennes, etc.

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