Les 3 trucs qui vous rendent malpoli sur les réseaux sociaux
Les messages ne cessent de pleuvoir sur les réseaux sociaux. C’est pratiquement comme la peste. De grâce, ne vous servez plus de WhatsApp, Facebook et Twitter pour vous rendre impopulaire!
Il existe des réseaux sociaux que beaucoup prétendent connaître lorsqu’on en parle. C’est le cas de WhatsApp, Facebook et Twitter. Oui, c’est simple comme bonjour, n’est-ce pas? Sauf que quand il faut les utiliser, nombreux sont ceux qui, au lieu de se faire des amis, se font des ennemis… Alors qu’ils rêvent de popularité et de donner plus d’impact à leurs publications, ils énervent. Cela s’appelle effet boomerang !
Voici donc pourquoi c’est si important d’éviter d’être mal poli, de devenir mal aimé, en utilisant les réseaux sociaux (RS).
Ne pas abuser des identifications
Les trois RS cités (Facebook, Twitter et WhatsApp) donnent la possibilité d’identifier des personnes dans des publications. Il suffit, pour les trois, de précéder le nom d’une personne du symbole @. Facebook permet d’identifier ses contacts, et même des personnes qui ne sont pas en contact avec vous, directement dans vos publications. Il suffit alors de taper leurs noms dans le texte à publier, ou plus en bas, à côté de l’icône de localisation géographique.
L’avantage, c’est que votre réseau social envoie directement une notification à votre contact. Cela fonctionne comme une invitation à vous lire. Aussi, vous supposez que ce dont vous parlez va l’intéresser. Et c’est là que commence le plus dur, à mon sens. La question est : pourquoi pensez-vous que votre publication va plaire à un tel? Le connaissez-vous suffisamment pour savoir qu’il vous lira?
Disons que cela peut fonctionner chez certaines personnes. Mais s’il n’est pas intéressé ? Vous commencez à ennuyer. Deux, trois fois de suite, monsieur/madame n’y trouve pas son compte, vous commencez à déranger. Ça devient mal poli. C’est simple non? Passons à une autre dérive sur les RS.
Pas trop de messages « Inbox » ou dans un groupe
Une des merveilles qu’Internet rend possible, c’est le partage. Mais bien souvent, demandez-vous bien si ce que vous partagez arrive bien à propos pour intéresser l’autre. J’imagine trouver mon médecin, dans son cabinet, plongé dans la lecture des 2 000 messages WhatsApp tombés dans la nuit sur son téléphone, depuis sa dernière connexion. Est-ce possible ? Peut-être. Est-ce supportable, quand vous arrivez avec une fièvre ? Pas très sûr !
Passons. Imaginez alors que c’est vous. Vous êtes dans trois, quatre, cinq groupes. Vous avez chaque jour 12 amis qui vous écrivent… Je parie qu’au final, on ne vous lira plus. Puisque vous exagérez. Le danger, c’est que si l’on vous classe parmi les dérangeurs, même le jour où vous appelez à l’aide votre médecin, parce que vous avez un AVC, il risque de vous lire quand vous serez déjà en train de congeler dans votre frigo, attendant votre inhumation. Non, je ne le souhaite pas! Mais pensez-y. N’ennuyez plus!
Pas trop de photos, trop de vulgarité ou trop de bla-bla
Certaines personnes sur les RS pensent que tout ce qui leur a plu va forcément plaire à tous. C’est vraiment terrible. Ils vous bombardent alors avec tout, et rien du tout à la fois : canulars, infox, photos érotiques, du porno… on fait quoi avec? Et que dites-vous de vous même? Que vous êtes un génial transporteur de fausses nouvelles, des nouvelles que tout le monde est censé lire, en parlant d’actualité? Oui, je connais des gars qui ont pour excuse : « transmis comme reçu ! » Mais cette malheureuse mise en garde ne compte pas dans la mesure où vous avez partagé. Vous avez beau dire « retweeter n’est pas endosser la responsabilité », mais vous vous engagez dès lors que vous cliquez sur “j’aime”, « partager », etc.
Bref, évitez d’être malpoli et d’ennuyer. Pensez souvent à ce que peuvent dire les personnes qui vous lisent souvent. N’oubliez pas que Facebook notifie vos contacts, du moins les plus actifs avec vous, chaque fois que vous publiez. Vous le faites dix fois le jour, dix fois ils vous subiront. Comptez aussi que chaque fois que quelqu’un commentera, partagera, cliquera sur “J’aime”… Oui, toutes ces fois-là, ils recevront des notifications. N’est-ce pas déjà pénible, certaines amitiés sur les RS ? Pensez-y !
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